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Villegusien

Plus d'infos (Texte de G. Pisana)

Villegusien-le-Lac compte 5 communes associées : Villegusien, Saint-
Michel, Prangey et Vesvres-sous-Prangey, Piépape et Heuilley-Cotton, en
tout un peu plus de 1000 habitants. Elles sont situées au sud de la Haute-Marne dans le bassin versant sud, sudest de la Vingeanne. Ce qui les caractérise, c’est la présence d’un lac de retenue d’une capacité de 800 000 m3 qui alimente le canal de la Champagne à la Bourgogne, 194 ha. avec une longue digue, une plage, une
base de loisirs (école de voile et base nautique) et 2 grandes baies en partie marécageuses qui accueillent une grande variété d’oiseaux.

 

C’est une belle mosaïque de milieux humides : bordures forestières de frênes, de peupliers et de saules, roselières, vasières, prairies qui abritent une grande quantité d’oiseaux sédentaires ou de passage, 170 espèces ont été recensées, parmi lesquelles, le busard des roseaux, le grèbe huppé, le héron cendré, la
mouette rieuse et bien d’autres oiseaux limicoles. La flore est tout aussi riche. Un sentier de randonnée qui fait le tour du lac permet, grâce à l’observatoire des oiseaux, de belles découvertes floristiques et ornithologiques.


Le lac de retenue fait le bonheur des chasseurs et des pêcheurs. L’association de pêcheurs la plus active est la Vingeanne Vigilante. Outre le lac, la route 974 de Langres à Dijon, axe majeur pour le commerce et les déplacements des nombreux ruraux qui vont travailler en ville. Le canal entre Champagne et Bourgogne (de la Marne à la Saône), terminé en 1907, voué au départ au transport de minerais et de produits agricoles, devenu aujourd’hui l’itinéraire très prisé du tourisme fluvial qui voit passer de nombreuses péniches françaises, belges, allemandes et néerlandaises. La nature des sols et en particulier la grande faille qui court depuis Chalindrey est à l’origine du changement de rive du canal, lequel enjambe la Vingeanne au pont-canal de Bize-l’Assaut au sud de Piépape.

 

La Vingeanne qui passe à Vesvres-sous-Prangey, Villegusien et Piépape et qui alimente le réservoir du lac de Villegusien. 

Enfin la voie ferrée de Dijon à Chalindrey a surtout une vocation
économique et permet de communiquer avec l’ensemble du réseau f erré en
rejoignant les gares de Chalindrey, de Dijon ou de Langres.

VILLEGUSIEN
C’est la commune fédératrice des 5 communes avec tous les services postaux et administratifs et communaux. Elle compte quelques belles demeures de caractère et plusieurs entreprises. Elle a aussi une capacité d’accueil importante avec un hôtel-restaurant, une brasserie au bord du lac, ouverte seulement aux beaux jours, des chalets : « les 58 chalets de la Vingeanne »  pour 5 personnes chacun, avec piscine pour un hébergement touristique de qualité et un peu partout dans le village, de nombreuses chambres d’hôtes. À cela il faut ajouter un
beau terrain de camping de grand confort avec piscine et restauration.

 

L’église Saint-Denis : Construite entre le XVIe et le XIXe siècle, sa nef est àvaisseau unique avec 3 travées. Sa tour-porche est surmontée par une petite flèche octogonale. Le choeur et la travée qui le précède datent du 16 e siècle. La nef et le clocher sont datés du 18e siècle Une plaque à l'entrée de la chapelle latérale nord indique qu'elle a été érigée en 1855, par l'abbé Molard curé, en reconnaissance de la préservation du choléra de 1854. La peinture ornant la voûte de cette chapelle a été restaurée dans les années 2000 par J. Y. Texier. 2 cloches 1845 et 1866.
 

 

 

SAINT-MICHEL
L’existence de Saint-Michel remonte au Moyen-âge, le village était alors situé sur une butte au nord-ouest. Mais au XVIIIe siècle il est reconstruit dans la vallée, le long de la route de Langres à Dijon. Saint-Michel compte deux châteaux et une grosse bâtisse bourgeoise. L’église en son centre est dédiée à saint Michel archange. Son choeur comprend un retable de la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Il est typique de l’époque baroque. Audessus
de la porte donnant sur la sacristie, une représentation de saint
Michel avec ses attributs habituels : ailes, lance et balance. À gauche saint Sébastien et les armoiries de la famille Guyot de Saint-Michel, bienfaitrice de la commune. Dans la chapelle latérale droite, un retable simple avec en son centre une Vierge Marie, un beau petit saint Sébastien attribué àBouchardon et à droite saint Mammès, patron de la cathédrale de Langres.

Le château : propriété privée se compose de 3 parties. La maison forte avec sa porterie majestueuse flanquée de deux tours. À l’arrière, un pigeonnier, probablement du XVIIe siècle, avec 500 trous de boulins en tuf . La maison d’habitation typique du XVIIIe siècle. Le parc qui se compose de deux parties : un jardin classique avec statues, bassin rond, bassin rectangulaire et nymphée comme dans les jardins italiens des XVII et XVIIIe siècles.
 

Enfin, un jardin pittoresque inspiré des jardins anglais.
Stèle à la mémoire du Colonel Emmanuel de Grouchy, (1882-1950) chef départemental de la résistance.
Le motel de Saint-Michel, en bordure de la 974, a une grande capacité d’accueil.

PRANGEY
Au centre du village, la Place Adrien Guillaume (1833-1872), médecin émérite et bienfaiteur de la commune à qui l’on doit la présence d’une belle fontaine-lavoir. L’église Saint-Grégoire. C’est un édifice composite qui s’apparente aux églises romanes ou romano-gothiques qui s’inspirent aux églises rurales
bourguignonnes. Les parties les plus anciennes remontent à la fin du XIIe siècle.

 

Le château :

C’est aussi une propriété privée. Il se compose d’une grande
porterie de style médiéval. Il est entouré de douves. Depuis la partie
médiévale on pénètre dans une cour et on découvre un imposant château  des XVII et XVIIIe siècles. Les jardins ont été vraisemblablement dessinés par Le Nôtre. Ce parc est constellé de parterres floraux et d’arbustes taillés à forme de topiaires. Une bonne partie du château est classé monument historique.


VESVRES-SOUS-PRANGEY
Le village est une fraction de la commune de Prangey.
Le manoir ou gentilhommière. C’est une propriété privée. Fin du XVIIe siècle et début du XVIIIe, c’est un ancien pavillon de chasse où les seigneurs bourguignons se retrouvaient sans leur femme mais pas sans femmes.

Le calvaire ou croix de dévotion : daté du XVe ou début du XVIe siècle. Il présente une double face : le Christ au recto et la Vierge à l’enfant au verso. On identifie difficilement les autres personnages, mais il y a un saint, Georges terrassant le dragon et un saint Didier portant sa tête dans les mains. C’était le 4e évêque de Langres qui fut décapité.


 

 

 

AUX ENVIRONS
Les barrages réservoirs tous équipés pour un accueil touristique : Le lac de Charmes près du village de Bannes, La liez près de Langres, la Mouche près de Humes et la Vingeanne près de Longeau.

 

Cohons 

les jardins suspendus, retenus par la mission Stéphane Bern.
Cohons (prononcer conss) dit « Village aux cent sources », la plus connue est la Fontaine Sainte-Marie, en forme d’oratoire. Les escargots de Cohons, au nombre de trois, sont des constructions en pierres sèches, ludiques en spirale, ils forment des terrasses ou belvédères et faisaient partie de jardins 
d’agrément. Le plus remarquable est circulaire, un autre, à base rectangulaire, évoque un Mastaba de l’Egypte ancienne. Durant l’été, il y a de nombreux spectacles, théâtre de jardin, visites théâtralisées, atelier de construction en pierres sèches, etc.
 

Le Jardin de Silière, l’autre jardin remarquable de Cohons avec son
château XVIIe siècle. Un lieu de beauté et de sérénité. En grande partie, jardin à la française avec ses symétries. Il est contemporain de Versailles (1661) et ailleurs, des bassins, des jets d’eau, des promenades romantiques , un ruisseau avec cascade et tufière.
La maison Diderot (de 1713 à 1784) Cette maison fut achetée par Didier Diderot, le père de Denis, coutelier installé à Langres. Elle fut la plupart du temps habitée par Didier-Pierre, frère de Denis, Grand Archidiacre de la cathédrale de Langres. Mais Denis Diderot, grand pourfendeur du catholicisme, y fut déclaré persona non grata, ce qui revient à dire q u ’il n ’y vint pas souvent.

 

Gorges de la Vingeanne à Aprey
Les sites, des sources et des gorges de la Vingeanne représentent l’un des points les plus remarquables de notre patrimoine naturel départemental : le plus riche au point de vue botanique ; l’un des premiers au point de vue écologique ; de premier ordre au point de vue touristique et pédagogique ; intéressant au point de vue zoologique.


Le site des gorges de la Vingeanne est le seul «Canyon» haut-marnais creusé par l’eau dans les terrains calcaires. Deux circuits botaniques : un pour les gorges, balisé de flèches jaunes, destiné à un large public, et un autre pour les marais, balisé de flèches rouges, réservé à des spécialistes. La rivière Vingeanne, de sa source à la Saône, dans laquelle elle se jette, mesure 93 km. Un petit canyon creusé dans la roche confère à ce lieu une ambiance magique propice aux légendes.... Le site des gorges de la
Vingeanne est à la fois intime et grandiose. La combe Royer, au fond de laquelle se trouvent les gorges est tapissée d'ail des ours et offre un cadre de promenade frais et reposant. Ce site est bien conservé et une partie est sous gestion O. N. F. Une belle légende, d’après Jean Robinet, écrivain-paysan local.


“Là, vint Jeanne...” La Vingeanne !... Rivière bourguignonne au nom tendre et chantant, elle prend sa source au flanc du Plateau de Langres, en Haute-Marne, à Aprey, au creux d’un val étroit appelé Combe-Ragot. Elle traverse ensuite notre zone après s’être jetée dans le lac du même nom. Elle sort sous un léger talus, parmi des cailloux et entre les racines d’un grand frêne qui l’abrite. Elle est humble, cachée, mais déjà charmante, comme devait l’être la Dame du Seigneur d’Aprey qui lui donna son nom. Car - eh ! Oui ! – c’est une belle jeune femme qui fut, sans le vouloir et sans l’avoir jamais su, la marraine de la Vingeanne. Touchante histoire :
Il fut à Aprey, aux temps féodaux, un bon seigneur qui, pour sa femme nommée Jeanne, avait une affection sans borne. Tous deux étaient tendres et épris de poésie, ils s’aimaient du véritable amour. Leur promenade préférée était d’aller dans ce val étroit et profond, au milieu des forêts, où l’on voyait sourdre une jolie source. Il y avait là une table et des bancs de pierre, sous de grands arbres. Tous deux s’y arrêtaient, se prenaient les mains et écoutaient battre leur coeur, au rythme desquels se mêlaient le chant des oiseaux et le murmure de l’eau. Ils restaient longtemps, puis revenaient lentement dans la paix du soir, lorsque l’Angélus s’envolait des clochers des chapelles, dans les villages accrochés aux coteaux. Or, un certain hiver, la dame tomba malade et mourut. Le seigneur inconsolable, revint chaque dimanche auprès de la source, y rêvant à son bonheur passé. Un jour que sa peine était plus grande, de la pointe du stylet qu’il portait toujours sur lui, il grava ces mots dans la pierre : « Ici vint Jeanne». Les paysans répétèrent: «Là vint Jeanne».
 

Les sources de l’Aube
Les sources de l’Aube, dont le nom vient du latin alba qui signifie blanc donc pur, sourdent au creux d’une combe, en forêt d’Auberive. C’est la résurgence de plusieurs petites sources. Elle naît au pied du mont Armet, altitude 375 m. Longue de 248.3 km., c’est un des affluents les plus importants d e la Seine . Et de là est née une polémique qui a longtemps agité le petit monde des géographes : en effet , à sa confluence, à Marcilly-sur-Seine, l’Aube est plus importante que la Seine, et plus loin, à Montereau, l’Yonne, au tre affluent important, est notoirement plus grand que le fleuve, ce qui signifie qu’à Paris, tout pouvait laisser penser que la capitale est traversée par l’Aube ou par l’Yonne. Mais les géographes ont tranché : ce sera la Seine.


Le territoire sur lequel vous vous déplacez : forêt de Baissey, forêt
d’Auberive, se partage en deux bassins versants, vous franchissez donc la ligne de partage des eaux à plus de 500 m d’altitude.

La Vingeanne, bassin versant sud-est, se dirige vers la Saône, le Rhône et la Méditerranée. L’Aube, entraînée vers le bassin versant nord-ouest, prend la direction de la Seine et de la Manche.
 

Les sources de la Marne
Elle naît dans le cirque de La Marmotte à Balesmes-sur-Marne, zone accidentée mais de toute beauté. Elle est longue de 500 Km. et traverse 5 départements avant de se jeter dans la Seine, près de Paris. Cette source jouxte un autre site naturel « La Grotte de Sabinus et
d’Eponine »

 

La Légende de Sabinus
Entre 68 et 70 après J.C., plusieurs peuples de Gaule et de Germanie se soulevèrent contre la tutelle de Rome. A leur tête, plusieurs chefs dont un Lingon (peuple de Gaule dont la capitale était Langres) : Julius Sabinus. Ce dernier se déclarait arrière-petit-fils de Jules César. Après quelques victoires politiques et militaires, des légions romaines venues d'Italie matèrent ce mouvement de Résistance en 70 après J.C. 
La légende de Sabinus, née de la plume de Tacite et du philosophe Plutarque, prête à Sabinus une fin tragique. Caché pendant plusieurs années, il fut capturé et exécuté avec son épouse Eponine en 79 après J.C.


Le petit manège avait duré 9 ans. Ils auront eu 2 enfants entre temps. Mais les Romains finissent par les découvrir... et les conduisent devant l’empereur Vespasien. Eponine demande la grâce de son mari. Pitié !! Criet-elle. Mais de la pitié, que nenni, Vespasien s’en fout : Sabinus sera exécuté... Alors, Eponine aurait lancé à l'empereur : « J'ai passé des jours plus heureux avec Sabinus dans une grotte, que toi sur ton trône à la lumière du soleil... » Elle ne veut plus vivre si son Julius n’est plus là, alors elle demande à mourir aussi... De quoi faire d'Eponine le symbole parfait du courage et de la fidélité à toute épreuve !
C'est la tradition populaire qui situe le refuge souterrain de Sabinus dans une grotte à proximité des sources de la Marne, bien qu'aucun argument historique ou archéologique ne vienne étayer cette localisation. La Marne est longue de 500 kilomètres et naît dans -Marne et traversé cinq départements. Cette autre site naturel : la Grotte de Sabinus, du nom

 

Une belle cité de caractère : Montsaugeon
C’est un petit village pittoresque, un vrai décor de théâtre. Le village est accroché aux flancs d’une butte témoin, 338m. d’altitude, Il est agrémenté par la présence à ses pieds d’un large étang, lieu de pêche et de pique-nique. Le village ne comporte que des maisons anciennes ou à l’apparence ancienne avec un grand nombre de détails architecturaux : fenêtres à meneaux, linteaux sculptés, corniches, lucarnes mais aussi et surtout une halle datant du XVIIIe siècle, siège autrefois d’un marché important, un grenier à sel du temps de la gabelle. Tout au sommet du village, une église remarquable des XII au XVIIIe siècle, Dédiée à la Très Sainte-Vierge en sa Nativité, très richement ornée, une grande porterie médiévale, des remparts et beaucoup d’autres vestiges à découvrir. 

Aubigny-sur-Badin

Eglise Saint-Symphorien, unique vestige d'un ancien prieuré fondé au XIe siècle. Il fut détruit pendant la guerre de Trente Ans. De structure gothique, l'église Saint-Symphorien abrite un mobilier intéressant : armoire
eucharistique de style flamboyant, maître-autel et retable. Le clocher est équipé de l'une des plus ancienne cloche du département (1562). Classée Monument Historique le 21 février 1914. Le cimetière d'origine mérovingienne, qui entoure cet édifice, bénéficie de la présence d'un arbre remarquable, un tilleul dit de Sully, âgé d'environ 400 ans.

 

Le parc national de forêts de feuillus

À découvrir les vastes massifs forestiers d’Arc-en-Barrois-Châteauvillain, Auberive et Châtillon représentatifs des forêts de la plaine française. Cet espace d’exception, situé au coeur des départements de Haute-Marne, en Champagne et de Côte-d’Or, en Bourgogne a été choisi pour accueillir le 11e Parc National. Espace unique en France, le Parc national est dédié aux forêts feuillues de plaine, mettant ainsi en valeur la relation étroite entre l’Homme et la Forêt. De vastes forêts feuillues, des sources et des rivières, des paysages préservés, des activités économiques liées étroitement aux ressources locales… Ces particularités sont les atouts majeurs du territoire et fondent son caractère.
 

L’abbaye cistercienne d’Auberive
L’abbaye cistercienne d’Auberive fut fondée en 1135 par 1 2 moines venus de Clairvaux. Issu du grand mouvement monacal du XIIe siècle, l’ordre cistercien est un ordre monastique de droit pontifical qui doit son développement à Bernard de Clairvaux (1090-1153), homme d’un charisme exceptionnel dont la présence est attestée à Auberive. À la Révolution, les ordres monastiques sont dissous, le domaine est vendu et racheté par Abel François Caroillon de Vandel, gendre de Diderot. Il y installe une filature. Le 11 février 1857, suite à une séparation des sexes en milieu carcéral, l’Etat rachète le domaine et y installe une prison de
femmes. La prisonnière la plus connue est la Vierge Rouge, la
Communarde Louise Michel, détenue de 1871 à 1873. Tour à tour, maison d’éducation laïque pour jeunes femmes, puis colonie agricole pour jeunes garçons délinquants. Vendue à un groupe industriel belge, en 1960, l’abbaye devient colonie de vacances. Enfin, elle est rachetée en 2004 par Jean-Claude Volot qui en fait un Centre d’Art Contemporain . Ce d ernier, grand mécène, propose des de grandes expositions issues de sa propre collection ainsi que des expositions temporaires parmi lesquelles, au fil des années, se sont succédé Chaissac, Combas, Ernest Pignon-Ernest, Fougeirol, Di Rosa, Courbet et bien d’autres. Chaque année, début juillet, J.C. Volot propose un festival de musique classique instrumentale.
À Vroncourt-la-Côte, à une bonne cinquantaine de Km., il y a un musée Louise Michel, institutrice, militante anarchiste et révolutionnaire qui s’est particulièrement illustrée
durant la Commune de Paris.

Un sud Haut-Marnais très festif
Plusieurs associations durablement installées dans la zone de Villegusien-le-Lac et aux environs oeuvrent toute l’année pour divertir et instruire la 
population.


Le festival du Chien à Plumes à Villegusien et Longeau Percey, musiques du monde, durant la mauvaise saison à La Niche sur le territoire de Dommarien et durant le premier week-end d’août, un festival de 3 jours qui accueille entre 15 et 20.000 personnes, en particulier des jeunes.
 

Les Foyers Ruraux de la Vingeanne :

Collectif d’associations locales et de foyers ruraux qui mutualisent leur matériel et leur énergie pour offrir des divertissements. Le point d’orgue, c’est la fête de l’été, aux environs du 14 juillet, qui a lieu sur la plage du lac de la Vingeanne à Villegusien avec feux d’artifices, bal, petite restauration et spectacles circassiens. Un cabaret qui se produit dans la salle des fêtes de Vaux-sous-Aubigny. Spectacle et restauration en fin d’hiver et début de printemps.
 

Théâtre à Villegusien. Plusieurs représentations durant l’hiver.

Fest’abeilles ou Apis Sapiens, association qui défend les abeilles avec amour. L’association fait son festival en juillet à Vaux-sous-Aubigny, une savoureuse alchimie entre un marché de pays et un moment de partage citoyen : une bonne symbiose entre l’humain et les abeilles. À noter que la salle des fêtes de Vaux-sous-Aubigny s’appelle Salle Charles Dadant (1817-1902), médecin, exilé aux Etats-Unis. Il poursuit ses recherches sur l’élevage raisonné des abeilles. Il invente les cadres suspendus dans les ruches.

La cabane des secrets à Esnoms-au-Val, lieu d’exposition d’artistes locaux et lieu d’animation avec, comme presque partout, un marché de pays où les producteurs présentent leurs spécialités, des produits du terroir où le bio est à l’honneur.

 

Le Muid Montsaugeonnais, centre de vinification. Pinot noir, Chardonnay blanc, Auxerrois blanc et Gamay. Le muid produit en outre un rosé, un brut mousseux, et du ratafia.

 

Rajoutons plusieurs brasseries artisanales : à Isômes, la brasserie Bock’n Roll propose la bière La Voûtue et à Saint-Broingt-les-Fosses, la brasserie Fifty-Two propose la bière de La Dhuys.

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